La fondation Alkarama, une ONG basée à Genève téléguidée par le Qatar vient d’adresser une communication urgente aux mécanismes des Nations Unies chargés de la protection des droits de l’homme afin d’intervenir pour protéger le droit de manifester en Algérie, indique le site officiel de cette organisation.
L’ONG veut saisir les restrictions imposées aux manifestants des wilayas limitrophes, empêchés par la gendarmerie d’accéder à la capitale pour soi-disant demander l’intervention de l’ONU.
Le comble du ridicule, c’est que cette ONG dont les fondateurs sont inscrits sur la liste de terroristes du Conseil de sécurité et celle du département du Trésor américain se donne le droit de parler des droits de l’homme.
Doit-on rappeler à Mourad Dhina et ses acolytes qui font partie de cette ONG que leurs manœuvres sont connues de tout le monde, les tentatives de déstabilser notre pays son infondées et injustifiées.
Son ancien chef n’est autre que le terroriste Abdul Rahman Omeir al-Naimi, épinglé par les Etats-Unis dans plusieurs affaires de financement de terrorisme en Irak, en Somalie et au Yémen.
Cette association a sciemment négligé un point très important qui est que les manifestations en Algérie ont, depuis le 22 février, ébloui le monde entier par leur civisme et leur pacifisme et n’ont par conséquent pas besoins d’être défendus par des adeptes de la violence.
Sihem Henine