Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, s’est dit lundi à Alger convaincu que l’Algérie dispose d’atouts et de capacités qui lui permettent de se positionner en matière d’économie de la connaissance, invitant l’ensemble des institutions étatiques à participer à la démarche de transformation vers cette économie et à développer des outils et des mécanismes d’évaluation et de suivi des acquis dans ce domaine.
Dans une allocution à l’ouverture des travaux des Assises nationales sur l’économie de la connaissance, lue en son nom par le Premier ministre, Abdelaziz Djerad, le Président Tebboune s’est dit convaincu que l’Algérie dispose d’atouts et de capacités qui lui permettent de se positionner en matière d’économie de la connaissance, appelant à la conjugaison des efforts pour que l’Algérie puisse occuper une « place de choix » dans ce domaine aux niveaux régional et international.
« Toutes les institutions étatiques doivent dorénavant participer à la démarche de transformation vers l’économie de la connaissance et développer des outils et des mécanismes d’évaluation et de suivi des acquis dans ce domaine », a insisté le président de la République.
Il a rappelé que « dans le cadre de la mise en place de l’environnement institutionnel, des réalisations tangibles se sont concrétisées, à savoir le lancement officiel du Fonds national de financement des startups en tant que mécanisme clé de soutien à la création de ce type d’entreprises, l’inauguration du premier accélérateur de startup au niveau de Dounia Parc dans la capitale. Il rappellera aussi le lancement des services de certification et de signature électroniques en tant qu’outil permettant de sécuriser les transactions en ligne et d’améliorer le climat des affaires ».
Le Président Tebboune a également souligné que l’Etat avait attaché un intérêt particulier à l’amélioration du climat des affaires au profit des startups à travers la simplification des procédures administratives et l’accélération de la numérisation au niveau de tous les départements ministériels et des institutions étatiques, notamment en lien direct avec le service public et l’investissement.